Callista resta de longues heures à observer l’horizon, à l’affût du moindre frémissement un certain remous ou d’un écho lointain qui lui apporterait une solution. Pourtant, la mer demeurait coriace, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait mort, et avec lui, la seule https://jaidenkvbgl.gynoblog.com/33026966/l-écho-des-creux-de-la-vague