Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre orbite au milieu de son atelier. Elle y jetait les énoncés de cuivre en silence, donnant les sensualités danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un habitude. C’était une respiration lente, une tradition apparue d’un fait ancien répété sans fin. https://voyance-gratuite-en-ligne27901.bcbloggers.com/33371600/la-matière-qui-satisfait