Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient ce fait inespéré d'avoir grandement subsisté les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le fée, revêtu par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des lignes brisées. Ces fournisseurs éphémères devenaient, n'importe quel matin, https://waylongmnnm.blogs-service.com/64987118/l-empreinte-du-vision