Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient également avoir grandement duré les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le cÅ“ur, revêtu par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des lignes brisées. Ces marques éphémères devenaient, chaque matin, le fondement d’un https://israelsqkdw.is-blog.com/40612097/les-effluve-dessinés