Le carnet du soldat, désormais noirci de annotations fiévreuses, reposait aux environs de la radio. Il avait passé l'obscurité à masser une faille dans le message offert, à démonter mentalement chaque élément de la contamination. Le prénom évidemment était le sien, constant d’un code qu’il avait noté sur la couverture https://mariosdvgp.vidublog.com/32938366/le-nombre-glacé